Château Durfort Vivens – 2ème Grand Cru Classé – Margaux

Son histoire

Le château Durfort-Vivens doit son nom à la famille Durfort de Duras qui s’installa à Margaux courant XIVe siècle. Ce fut en 1824 que le Vicomte de Vivens vient ajouter son nom à celui de Durfort. A la fin du XVIIe siècle le vin de Durfort commence à être fortement apprécié. Thomas jefferson, alors ambassadeur de France et futur président des Etats-Unis plaça Durfort-Vivens juste après Lafite, Latour et Margaux. En 1961, Lucien Lurton acquiert ce vignoble et c’est en 1992, que son fils Gonzague Lurton hérite de la propriété. Il en est encore le propriétaire actuel. En 1855n le vin se voit être classé au rang de Second Cru Classé.

 

Son vignoble

Ledufort-vivens-vigne domaine d’une superficie de 55 hectares se situe sur les communes de Margaux, Cantenac et Soussans. Le vignoble plante ses racines sur des croupes de graves profondes et particulièrement pauvres. Ce terroir permet aux raisins d’atteindre une maturité précoce et optimale et de belles concentrations en matière, gage de la fraîcheur et de l’élégance caractéristiques des grands Margaux. L’encépagement du grand cru se compose de 70% de Cabernet Sauvignon, 6% de Cabernet Franc et 24% de Merlot.

Ses vins

Les vendanges sont effectuées manuellement. La vinification est parcellaire et précise. Elle s’effectue en cuves de bois et ciment de capacités permettant de vinifier séparément chaque parcelle. L’élevage est conduit en barriques de chêne de type bordelaise neuves entre 40 et 45% selon le millésime. L’élevage dur en moyenne 18 mois. Tout ceci afin de donner naissance à un vin fin, soyeux, frais et élégant.

 

Millésime coup de coeur : Château Durfort Vivens 2011

Commentaire Jean-Marc Quarin : 15,5/20 – 88/100

« Couleur rouge, sombre, pourpre, vive. Nez fruité, frais, discret et comme souvent un peu vif. Jolie entrée en bouche où le vin se montre de suite raffiné dans le toucher. Il se développe aromatique et vient manquer de densité en milieu de bouche. Il se contracte un peu en finale avec une note plus vive et s’achève sur une longueur normale. »

 

 

Thomas M
Thomas M

Laisser un commentaire